jueves, 21 de septiembre de 2017

« Chorégraphie de cendres », poèmes de Françoise Ruban, par Cristina Castello

Toujours la résurrection

« Tout est changé, changé du tout au tout :
Une beauté terrible est née »
William Butler Yeats

  « Chorégraphie de cendres » est une plaidoirie contre tout ce qui tue la vie.
C'est résistance, au cœur de l'hécatombe qui secoue la Terre.
La résistance comme celle de Prométhée face au  supplice.
Supplice de mère :
Douleur sèche
Douleur animale
Pleur de la
Divinité
Pour Fabrice, le fils qui est parti en 2009 vers une étoile.
Fabrice et Françoise, non pas seulement une mère et un fils, mais deux identités en communion :




« Je regarde le ciel
nuages mouvants filants _____ s'étirant
symphonie inachevée
bleus et blancs chavirés
quand retentissent ces gris qui m'assourdissent
Je cherche
Un sens à cette existence
insensée cadence »

« Chorégraphie de cendres » n'est pas un chant au malheur puisque dans les strophes les plus douloureuses, scintille la sève vitale.
Poésie en « ligne droite » qui devient ellipse, courbe, spirale, tour, au sein même des régurgitations de la haine des criminels du monde :


« Dénoncer la haine la guerre meurtrière
Le poète jugé fou ou rebelle
a ordre de se taire
on le condamne à faire danser insouciance et légèreté
par les tyrans chorégraphie imposée
danse macabre pour la Muse esseulée »


Beauté terrible et terrible Beauté.
Étonnement, fureur, quand les sirènes hurlent aux crimes; ou quand la rage de la planète éclate à cause des morsures de l'homme. Ce n’est certes pas facile  pour notre poète aux mains ouvertes à l'amour, d’accepter que «cela» soit- aussi - la «condition humaine».
Et peut-être est-ce  la raison de toujours de la  résurrection :
«Et pourtant... vivre  »

Mort et résurrection, oui.
Chaque page est un stylet qui déchire la noirceur : l'horreur.
Parce qu'il y a aussi, l'océan et ses déferlantes; la musique, la peinture et les arts.
Parce que il y aussi la Nature des cocons s’éveillant ; mais  aussi et surtout, le sens de la vie comme une transcendance;  mais encore  des dieux grecs, des artistes et des géographies; et le fanatisme et Abel et Caïn ... et le pardon et la compassion.
La tension entre le prosaïque et l’Azur. Entre le terre à terre et le sublime; entre la finitude et l'Absolu...
Tout atteint ses sommets et ses abîmes presque simultanément;  Beauté terrible et  terrible Beauté, sont protégées par une grande tendresse:


« Au fil des saisons du ciel
j'écoute scintiller la Voie lactée
étoiles pétillantes d'un ballet lunaire interstellaire
Luna luna de tous les astres la plus mystérieuse
tu recueilles les pleurs de l'absence
tu inspires aux amants les plus tendres émotions
et des poètes tu deviens Muse
On te dit parfois maléfique __ Moi qui cherche
je te sais de mes nuits confidente »

Mort et résurrection, oui.
Synthèse des contraires, porte qui s’ouvre et porte qui se ferme.
L’insaisissable et le profane …
Le Pouvoir et la carence d’êtres arrachés de toute forme d'existence digne.
Vie qui
appelle la vie et mort qui sème la mort : Syrie, Irak, Grèce, Afghanistan… En France : «
A l'orée il y eut Charlie/Au crépuscule rougeoyant ce fut le Bataclan/
Le sang déversé…». La peste brune:

«  la terre ruissela rouge du sang répandu par les rues
En Europe ______ en France surtout
la peste brune déferle en vagues bleu marine
sur nos fragiles dunes »

« Qu'est-ce que  une feuille de papier ? / C'est quelque chose que tu ne peux pas tourner/jusqu’à  en  tirer la dernière ligne de toi même », dit une poésie russe d'auteur anonyme.
Bienvenu  «Chorégraphie de cendres», bataille entre Éros et Thanatos, qui se résout par la foi finale en une destinée.
C'est la dernière ligne de l'âme de Françoise Ruban.

« Célébrer le point du jour
lueurs magiciennes de l'aube
instant d'amour et de paix
Les mots chantent »

Cristina Castello, 21/09/2017
 «Chorégraphie de cendres»
Françoise Ruban
Blog de Françoise Ruban
©maquettes by association gens du monde
ISBN 978-2-919521-38-8
SIRET : 521 903 294 000 10
©Droits réservés éditions épingle à nourrice
 15 €

Image prise du site de Françoise Ruban
L’AUTEURE

Françoise Ruban est née en Bourgogne (France). Son père
cheminot, sa mère employée, ses racines paysannes et ouvrières,
n'auraient jamais dû, en ces années d'après-guerre, la
conduire à des études universitaires. Mais l'amour et la générosité
sans bornes de son parrain modifièrent un destin déjà
tracé. Une scolarité ouverte sur la vie et le monde au Lycée de
Montgeron, lycée-pilote fondé par Alfred Weiler dans l'immédiat
après-guerre, un homme exceptionnel avec des professeurs
à son image.
Puis c’est une année d'hypokhâgne au Lycée Fénelon à Paris,
et une licence de Lettres à la Sorbonne. C'est alors que Françoise
Ruban se passionne pour la littérature russe, la poésie,
découvre le cinéma d'Art et d’essai, le jazz, les petits bistrots
où l'on refait le monde !
Le Quartier Latin, fascinant et riche de découvertes et de
rencontres, l'amènera plus d'une fois à sécher les cours ! Par
nécessité puis par choix et conviction forte, Françoise Ruban
devient professeur de Lettres en lycée professionnel, heureuse
de transmettre sa passion à des jeunes gens issus de milieu
modeste et souvent en difficulté.
Le goût de la lecture, de l'écriture, de l'Art, ne la quittera
jamais.
En 2009, le décès injuste, cruel et inacceptable de son fils
Fabrice, renforce en elle l'amour de la poésie. Une porte ouverte
sur une seconde vie...


miércoles, 20 de septiembre de 2017

«Coreografía de Cenizas», 2º poemario de Françoise Ruban, por Cristina Castello

La siempre resurrección

Todo cambió, cambió completamente:
Ha nacido una belleza terrible
 William Butler Yeats

 «Coreografía de Cenizas» es  un alegato contra todo lo que mata la vida.
Es resistencia, en el corazón de la hecatombe que sacude la Tierra.
Resistencia como la de Prometeo ante el suplicio.
Suplicio de madre:
dolor seco, dolor animal, llanto de la Divinidad.
Por Fabrice, el hijo que partió en 2009 hacia una estrella.
Fabrice y Françoise, no sólo madre e hijo, sino dos identidades en comunión:






«Miro el cielo
nubes movedizas fugaces _____ estirándose
sinfonía inacabada
azules y blancos zozobrados
cuando resuenan estos grises que me ensordecen
Busco
un sentido a esta existencia
insensata cadencia»

«Coreografía de Cenizas»  no es un canto a la  desdicha: aún en las estrofas más dolorosas, titila la savia vital. Poesía en «línea recta»,  que se vuelve elipse, curva, espiral, giro, en el seno mismo de las regurgitaciones del odio de los criminales del mundo:

«Denunciar el odio la guerra mortífera
El poeta considerado loco o rebelde
tiene orden de callarse
se lo condena a hacer danzar indolencia y ligereza
por los tiranos coreografía impuesta
danza macabra para la Musa abandonada»


Belleza terrible y terrible Belleza.
Asombro, ira, espanto, cuando las sirenas aúllan más crímenes; o cuando la rabia del planeta estalla a causa de los tarascones del hombre. No es fácil, por cierto, para nuestra poeta de manos abiertas al amor, aceptar que «eso» es –también- la «condición humana».
Y quizás esa es la razón de la  siempre resurrección:

«Et pourtant... vivre  /Y sin embargo… vivir».

Muerte y resurrección. sí.
Cada página es un estilete que  rasga la negrura: el horror.
Porque  también, el océano y sus oleajes; la música, la pintura y las artes todas.
Porque también la Natura de capullos amanecidos; también y sobre todo, el sentido de la vida como hecho trascendente; y también dioses griegos y  artistas y  geografías; y fanatismos y  Abel y Caín... y el perdón y la compasión.
La tensión entre lo material y el Azul. Entre lo pedestre y lo sublime; entre finitud y Absoluto...
Todo alcanza sus cumbres y sus abismos casi simultáneamente; y tanto la terrible belleza como la belleza terrible, están amparadas por una gran ternura:

«A lo largo de las estaciones del cielo
escucho titilar la Vía láctea
estrellas chispeantes de un ballet lunar interestelar
Luna luna de todos los astros el más misterioso
recoges los llantos de la ausencia
inspiras a los amantes las emociones más tiernas
y eres Musa para los poetas
Te decimos a veces maléfica __ Yo que busco
te sé confidente de mis noches»

Muerte y siempre resurrección, sí.
Síntesis de los contrarios, puerta que se abre y puerta que se cierra.
Lo inasible y lo vacuo.
El poder y la carencia de los seres arrancados de toda forma de existencia digna.
Vida que quiere vida y muerte que siembra muerte: Siria, Irak, Grecia, Afganistán… la France:
«
… En el alba fue Charlie /En el crepúsculo que enrojecía fue Bataclan/ La sangre derramada…». La peste brune:

«La tierra chorrea rojo por la sangre derramada en las calles
En Europa ______ en Francia sobre todo
el fascismo estalla en olas azul marino
sobre nuestras dunas frágiles»

«¿Qué es una hoja de papel?/ Es algo que no puedes dar vuelta/Hasta no sacar la última línea de ti mismo», dice una poesía rusa de autor anónimo.
Bienvenido «Coreografía de cenizas», batalla entre Eros y Thánatos, que se resuelve en una fe final en el destino.
 Es la última línea del alma de Françoise Ruban.

«Celebrar el amanecer
destellos magos del alba
instante de amor y de paz
Las palabras cantan»

Cristina Castello
                                          (Para el texto y traducción de extractos de poemas)
«Chorégraphie de cendres»
Françoise Ruban, poeta francesa
Idioma : francés
Blog de Françoise Ruban
©maquettes by association gens du monde
ISBN 978-2-919521-38-8
SIRET : 521 903 294 000 10
©Droits réservés éditions épingle à nourrice
 15 €

viernes, 18 de agosto de 2017

"ME DAN ASCO", DIJO A. FANTINO A MAURICIO MACRI Y A R. FRIGERIO -Cristina Castello

Foto tomada de revista "Pronto"
Con un lenguaje con el que no debe hablarse a nadie, el ignorante y anti periodismo Fantino, se refirió, en la primera parte, al ministro Frigerio, y luego al señor presidente (casi al final). Fue en su programa de radio La Red, del mismo grupo de América.
Fantino habla solo; se cree que hace una nota editorial… ¡si Pepe Eliaschev lo escuchara! Habla sin la presencia de aquellos de quienes habla. 

Tanto a Frigerio como a Mauricio Macri, los trata peor que a un “che pibe” delincuente.
Todo esto, con un lenguaje de bajo fondo.
A MM, en una parte, sin mencionar a #Cambiemos, (“una fuerza política que prefiero no mencionar”) y agrega (dirigido a MM): “me dicen que les chorearon tres puntos” […] “Son gente de festejar temprano. Siempre festejaron temprano y después se quedan con el culo entre las manos” […]  “Pónganse de acuerdo y díganme qué pasó” […] Trabajen "porque para eso le pagamos el sueldo".[…] 
“Lo único que pido es que no podemos saber los resultados de acá a quince días”… […] “Es vergonzoso. Me da asco”

Demás está decir que todo el proceso del escrutinio fue legal, que los K hicieron barbaridades con los escrutinios, etc. Y que este engendro Fantino, lo calló en su momento.
A mi entender, esto no debería permitirse.

He hecho miles más miles de entrevistas a seres luminosos, pero –también- a muchísimos infames, hasta a torturadores. Entrevistas muy duras, pero cargada de información y de argumentos, comprobables. Pero, además, eran eso: entrevistas. No era, como en el caso de Fantino, ponerse a calumniar hablando solo, sin interlocutor, sin conocimiento y sin sentido común.

"Hombres exiliados en la noche eterna. Hombres como semblantes de tumbas estranguladas” (R. Queneau.)


Este es el enlace para escuchar lo que dijo este exiliado en la noche eterna:
https://radiocut.fm/audiocut/fantino-contra-el-gobierno-es-una-verguenza-me-da-asco/

Cristina Castello
No es nota, son palabras al pasar, escritas en mi FB

miércoles, 16 de agosto de 2017

Día del Niño/Alfredo Alcón/Reinventar la alegría por Cristina Castello

Y serán recompensados
los que ríen de horror

Paul Éluard
Quiero celebrar el "Día del Niño", con la vivencia de Alfredo Alcón; el ser a quien jamás se le murió el niño. En una de las entrevistas que le hice, me dijo que Sísifo, condenado a levantar siempre la misma piedra, burló a los dioses, cuando inventó la alegría.
Estamos tristes ante la abyección, creciente hasta límites inimaginables.
No. Se irán. Les prometo que se irán.
Y, para que se vayan, luchemos mucho, sí, pero con nuestras armas nobles.
Luchemos con alegría, como el Sísifo que inventó Alfredo. No tengamos miedo. Somos Nosotros, unidos. No ganarán. Ganaremos Nosotros. Ganará la Vida. El miedo... un fragmento, sólo un fragmento, de un poema mío:

El miedo es una infancia con murallas
Es un paso detenido ante esta puerta
Es una callejuela de arco alquitranado
Que macera el umbral de todo ensueño.

No hay más oscura región que su silueta
Ni amante tan fiel como ávido de ruinas.
Él nos coloniza, nos disuelve, nos blinda
Y nos aborta el coraje antes de ser nacido.


..... (fragmento del poema "Sombra", en "Orage/Tempestad" de Cristina Castello, libro bilingüe francés-castellano, publicado en París en 2009)

¡Vamos! ¡Ganaremos! Ganará la Vida

Cristina Castello
16/08/2015

sábado, 12 de agosto de 2017

LOS K CONSIGUIERON EL EFECTO CONTRARIO en “DDHH”- Cristina Castello

Hoy, por la prostitución que hicieron los K, la mayoría detesta la defensa de los de ‘76-‘83 (claro, de la Triple A, los K no hablan), el histórico Juicio a las Juntas  y todo lo que se hizo antes de que ellos los prostituyeran.
He defendido y defiendo la vida de todos; me opuse ferozmente mucho más de lo que mis pocos años de entonces y la dictadura criminal, me permitieron... y más: arriesgué la vida, sin otra militancia que la de defender la sacralidad de la vida. Por estar contra de todos los golpes de estado, ergo: en favor de la democracia y de la República.

El kirchnerismo envileció los derechos humanos; ignoró a quienes fueron masacrados -niños, adultos, etc.- por los Verbitsky, Vaca Narvaja, Firmenich, Perdía, Abal Medina... y toda la caterva de criminales.
Ni hablar la clase de monstruos en que se convirtieron -o siempre fueron y no lo habíamos visto- las Bonafini, Estela Carlotto, etc.

El kirchnerismo mintió y miente con el número de personas que sufrieron desaparición forzada, la cárcel, la tortura, la muerte. 
No se puede edificar nada a partir de la mentira.
En una palabra: Cristina Fernández de Kirchner, consiguió que -quienes sinceramente resistimos contra la muerte, los horrores y  la carencia total de instituciones de aquellos años, estemos hartos de los supuestos derechos humanos; y del continuo sonsonete de los '70.


Basta. Estoy harta.  Estamos hartos. Todo el tiempo se habla de lo mismo; y la grieta se agranda, de la mano de la hipocresía. De la mentira,

Lo que los K usaron, usan, inventaron, de los derechos humanos, logró que la concientización que se hizo con el doctor Raúl Alfonsín, -un demócrata- hoy se ha
ya revertido.
Hoy y por culpa del aprovechamiento de los derechos humanos por parte de los K, muchos odian lo que debería ser sagrado: la Justicia, la verdad, el bien, la libertad de todos, la República, la Democracia.

En cuanto a mí, me agotan.
Sí, a mí, que defendí y defiendo la vida de todos como algo supremo.
Pues los K y la llamada “izquierda” en Argentina, como tumbas de todo valor, son una
Oda a la muerte; y hasta escribirían una “Oda a Stalin”, como la imperdonable de Pablo Neruda; o una oda a Nicolás Maduro, tirano y criminal; o, mejor, una oda a ellos mismos: al kirchnerismo. Por Gracia, no tienen pluma para hacerlo, pero la Oda existe en sus actos, repugnantes.

Que en la TEVÉ pública, Radio Nacional y  otros medios de los argentinos, pues son del Estado y el Estado es de los argentinos, estén demasiado presentes los '70,  sin un análisis profundo, es –también- una injuria. Invitados ex guerrilleros, quienes –hoy siguen justificando la violencia; invitados, quienes no reciben ni una repregunta con argumentaciones, para poder mostrar la verdad  tanto más, en nombre de un supuesto pluralismo, que no es tal.
Y también esto juega en contra del país nuevo, que el señor presidente Mauricio Macri, acompañado y querido por sus votantes, queremos  construir.


"Lo que no soporto es que la falsedad de este o de aquel, hallen máscaras tan aderezadas, que nosotros, los verdaderos, convencidos de todo y boquiabiertos, colaboremos en su carnaval, sin saber bien dónde está la vida". (Pablo Neruda, antes de la “Oda a Stalin”, por cierto).

Cristina Castello
Palabras al pasar, escritas en FB
12/08/2012


miércoles, 9 de agosto de 2017

Los K & Cía.pueden haber desaparecido a Santiago Maldonado– Cristina Castello

Santiago Maldonado
A mí,  nadie en el mundo puede acusarme de no haber defendido la vida y todas las vidas, siempre; desde ese lugar, digo que no creo que Santiago Maldonado esté "desaparecido". 
Clara campaña por la elección de la multiprocesada Cristina Fernández de Kirchner.

Hay una mano negra K

Por ejemplo: el título de la nota del señor de la muerte, ex guerrillero y señalado/documentado: “servis”de los militares asesinos del 76-83 (“Doble agente”, autor: Gabriel Levinas), HoracioVerbitsky.
 "MM ya tiene su desaparecido"
, tituló,  en el diario de los porteros de los edificios. Página 12. Además, contra toda lógica legal, dijo que se trata de desaparición forzada de personas. 
 
El gobierno de Cambiemos es republicano y democrático;  no es un gobierno desaparecedor, como sí lo fue el kirchnerismo. Ver en CORREPI: 2015- Denuncian que el kirchnerismo deja el poder con más de 3 milmuertos por represión + desaparecidos.
El gobierno de Cambiemos, no eligió como jefe del Ejército, a César Milani, preso por torturas a militantes en La Rioja durante la última dictadura militar: por los secuestros de Pedro Adán Olivera, de su hijo Ramón, denunciante de la causa, y de Verónica Ligia Matta. No olvidar, por otra parte, su autoría en la desaparición forzada del soldadito  Alberto Agapito Ledo.

Los miserables Hebe Bonafini y Estela Carlotto, Horacio Verbitsky, la CTA Autónoma y la izquierda vernácula, payasesca y obscena, dicen que lo de Santiago Maldonado es "desaparición forzada de personas" y llaman a marcha por eso.
La CTA AUTÓNOMA. Marchó 
y publicó nota por “Aparicióncon vida ya de Santiago Maldonado”. Bien. 
Pero eso no fue todo. Acusó a Gendarmería y al Gobierno de la Nación –a la ministro Patricia Bullrich- de la responsabilidad de supuestos golpes y desaparición.
La ministro  no tiene ninguna responsabilidad, habló con argumentos y de acuerdo a lo que dijo la JUSTICIA.
Patricia Bullrich dijo que no pueden "verificar" si Maldonado estuvo porque “todas las personas, menos dos mujeres, que participaron de esos cortes que fueron interrupciones de la ruta en 4 o 5 lugares estaban total y absolutamente encapuchados y con una cantidad de materiales que mostraban una situación de agresividad".
"No son mis palabras, son las palabras las del juez Guido Otranto que dijo concretamente que no se ha corroborado que haya sido detenido
por la Gendarmería", señaló la ministra y arribó a la conclusión de que hay quienes "quieren politizar" este caso y eso "complica" la búsqueda: "Todos lo que dicen que fue una desaparición forzosa hacen una construcción política".

El Juzgado Federal de Esquel a cargo del Dr. Guido Otranto, por su parte. Comunicó: "hasta el momento no se ha corroborado que Santiago Maldonado haya sido detenido por la Gendarmería Nacional Argentina en el procedimiento que realizó el 1 de agosto" en el campo habitado por familias mapuches del Lof en Resistencia Cushamen, en el noroeste de Chubut”

Simplifico: esto es, claramente, una operación político-mafiosa de Doña Porota y de sus esbirros.
A pocos días de las elecciones primarias (PASO): solo les importa que la multiprocesada pueda acceder a la Senaduría, para tratar de evitar la cárcel.
Pero, aunque no lo quieran, la cárcel será su lugar en el mundo.

Santiago Maldonado aparecerá, salvo que los organizadores de este operativo político mafioso, ya lo hayan matado, que ellos -sí-  lo hayan desaparecido.

Año 2014: las desapariciones y torturas durante el kirchnerismo. Documento del CELS, del guerrillero Verbitsky. Clic AQUÍ

QUÉ ES “DESAPARICIÓN FORZADA”


“Se entenderá por "desaparición forzada" el arresto, la detención, el secuestro o cualquier otra forma de privación de libertad que sean obra de agentes del Estado o por personas o grupos de personas que actúan con la autorización, el apoyo o la aquiescencia del Estado, seguida de la negativa a reconocer dicha privación...
SIGUE AQUÍ 
GRACIELA FERNÁNDEZ MEIJIDE: "No es desaparición forzada"

Cristina Castello, 09/08/2017
No es una nota, son palabras al pasar, escritas en mi Facebook